// Petit Cheval Brun

Le petit cheval marchait derrière l'homme qui le menait court en longe.
Ses oreilles tournaient dans tout les sens, et ses naseaux grands ouverts cherchaient à capter la moindre odeurs, la moindre information du lieu ou il se trouvait.
Ses pas résonnaient sur le sol dur, irréguliers ; parfois trottinant, le jeune étalon restait pourtant calme.
La longe ne se tendait jamais, et l'homme n'avait pas eu besoin de battre l'animal.
Lorsqu'ils s'arrêtèrent devant la porte en barbelés, le petit curieux ne pu s'empêcher de tâter la chose du bout du nez...
Pour s'errafler et un petit grognement.
Il releva vivement la tête, en faisant un écart surpris, et trouva fort désagréable de reçevoir un coup sur l'épaule pour ce geste qu'il n'avait presque pas contrôlé.

La porte se referma dans un raclement de terre à la croupe du cheval, qui sursauta et trottina sur quelques mètres.
Il observa l'homme en lui tournant le dos de trois-quart, le fixant sans se retourner.
Ceui-ci disparu, sans rien, en s'allumant une cigarette.

Strit? Il était là, il attendait, comme très souvent en ce moment, quelque chose qui pourrait venir mettre un peu d'action dans cette vie si stupide et sans interêt.

Il voit arriver un jeune cheval, alors il approche, curieux, et surtout, soulager qu'il y ait enfin quelqu'un, même si le faitr que ce soit un mâle, il n'apprécie pas trop.

Le vent soufflais doucement, c'était une brise.
Cependant, là, il commencai à pleuvoir, des petites goûtelettes pour le moment.
Mais soudainement, la pluie se voulu beaucoup plus forte, voir diluvienne.
Elle ne faisait pas mal, mais ce n'était plus de simple goutelettes.

Citation :: Le jeune étalon brun fut acceuilli par une averse qui s'installa doucement.
Il coucha une oreille, puis se mit à trotter pour s'habituer.
Shadelroost n'aimait pas la pluie, car elle estompait les odeurs.
Mais il l'aimait bien car elle en apportait d'autres.

Il stoppa, soudain, repassant en un pas hésitant.
La pluie lui avait caché une odeur qu'il venait d'identifier.
Il leva la tête et poussa un hénissement rauque, en l'inttention du cheval mâle qui se trouvait ici avec lui.

L'étalon répondit par un hennissement, sa voi cassée étais étrangement fluide.
Il resta cependant au même endroit, attendant que l'étalon l'approche par lui-même.

Les naseaux dilatés, et le toupet dans les yeux, il ne voyait ni ne sentait grand chose.
La pluie collée ses crins contre sa robe, et l'odeur de l'étalon s'était dissipée.
Cependant, l'henissement témoignais de sa présence en ces lieux.

La plui continuait de tomber, sans s'arrêter.
Elle appalatissait le moindre brin d'herbe, et transformait la terre en boue, entraînant un mélange plutôt répugnant pour les humains, de terre, d'eau et d'herbe.

L'étalon s'approcha du mâle de quelques pas, pour le voir entre les trombes d'eau.
Il coucha une oreille, tappa du pied et le toisa de là ou il était.
Ses sabots trempait à demis dans la boue, et sa queue se balançait lentement contre sa croupe.
Il fixait l'étalon, tout en gardant cette distance respectueuse en tre eux deux.

Je toise l'étalon qui se trouve devant moi.
Il est d'une taille respectueuse, et sa robe noir appermement, luit sous l'eau.
Je reste droit, et m'approche fierement.

Je patoge légerment dans la boue, mais qu'importe.
Je le regarde maintenant droit dans les yeux.

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